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Le tsunami de l'Holocauste : Jacques Vecker.

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Le tsunami de l'Holocauste : Jacques Vecker. Empty Le tsunami de l'Holocauste : Jacques Vecker.

Message par Invité Lun 1 Sep - 8:13

Le tsunami de l'Holocauste :
Jacques Vecker.


Le 20 février 1963 eut lieu dans le Berlin encore divisé un évènement fondateur
de l'Histoire contemporaine.
Au théâtre FREIE VOLKSBUEHNE un millier de privilégiés assistèrent à la Première
de la pièce d'un jeune inconnu DER STELLVERTRETER (Le Vicaire)
qui engendra un tsunami dont les vagues nous secouent aujourd'hui plus que jamais.
L'auteur Rolf Hochhuth, avait débusqué parmi les témoignages issus de la guerre
le récit d'un officier SS, Kurt Gerstein, décrivant un essai
de mise à mort de masse dans une chambre à gaz, prélude à l'extermination des Juifs,
ainsi que les démarches de ce fervent protestant pour en informer le Vatican.
Il en fit un drame dénonçant le silence du pape d'alors, Pie XII,
qui aurait reprocher à l'auteur d'avoir utilisé ce texte, de bonne foi,
pour culpabiliser l'Allemagne en secouant l'opinion publique par le moyen du théâtre politique.


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(Rolf Hochhuth)

Wiki :
:study:
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N'ayant jamais compris pourquoi le Pape, qu'on dit représentant de Dieu sur terre,
n'avait jamais interdit à tout catholique sous peine d'excommunion de porter les armes
et de participer à une guerre, je jubilai de voir enfin la vérité éclater...
N'était-ce point-là le message du Christ ?
Voyant un pape mis en accusation pour n'avoir pas fait son devoir de Pape,
je me suis précipité à Berlin et, peu attentif au problème des Juifs,
j'approuvai totalement l'idée de la pièce.
Lorsqu'elle fut jouée à Paris quelques mois plus tard au théâtre de l'Athénée
dans une traduction de Georges Semprun,
je sentis mon cœur se gonfler en entendant la réplique criminalisant le Saint-Père.
De violentes manifestations furent organisées contre Le Vicaire
par les papolâtres pour obtenir son interdiction.

Il n'en fut rien.

Je fis alors la connaissance de Rolf Hochhuth dont je devins le traducteur.

A défaut d'informations contradictoires je partageai la thèse et la croyance qui s'installa
solidement en une extermination des Juifs d'Europe dans des chambres à gaz.
En toute bonne foi également.
Comme quoi la "bonne foi" peut être délétère !

Depuis lors les révisionnistes de toutes obédiences ont réfuté
impitoyablement le mensonge
qui s'était affirmé et avait pris son envol
un peu grâce à Hochhuth.
La thèse du chercheur Henri Roques consacrée aux invraisemblances
des confessions de Kurt Gerstein ruina définitivement le crédit qu'on lui avait accordé.

La pièce devint historiquement obsolète.
Mais le mal était fait et depuis cette époque les miraculés de cette fictive extermination
n'ont eu de cesse de renforcer l'édifice du mensonge.
Il empoisonne, depuis la création de l'Etat d'Israël, l'ensemble des nations.
L'enseignement de cet imaginaire génocide devenu article de foi s'étend sur le monde.
Plus l'on prend conscience de la rigueur des chercheurs révisionnistes
et du caractère irrécusable de leurs découvertes,
plus s'intensifient les manœuvres de retardement des profiteurs de la félonie.

Pour stimuler notre prise de conscience des dangers qui nous menacent,
le Britannique Orwell sut créer un monde terrifiant.
Hochhuth quant à lui créa sur scène un Auschwitz de cauchemar, dramatique à souhait,
comme Perrault dans ses contes donna vie à un ogre de légende.

Par bonheur le réveil nous ramena à la réalité.

Certes des Juifs, comme des Polonais, des Bataves, des Norvégiens, des Lituaniens,
des G.I, des tommies..., et surtout des Allemands et des Russes périrent
en raison de la sanglante folie d'une guerre fondée sur le mensonge !
Triste hécatombe !

Costa-Gavras réalisa un film basé sur Le Vicaire en plaçant Kurt Gerstein
au centre de l'action.
J'ai servi d'intermédiaire entre l'auteur et lui pour l'acquisition des droits.
Je fus un interprète et ami fidèle tout en trahissant ma conviction.
Je me suis borné à demander au docteur Henri Roques d'envoyer son livre
au metteur en scène pour l'affranchit avant qu'il ne se lance dans une aventure scabreuse.
Le film AMEN respecta hélas la vulgate.
Je délivrai plus tard mon message révisionniste à Costa Gavras qui cessa dès lors tout rapport.

Ainsi va le monde.


Source : :study:
Courrier du continent, N° 561 (août-septembre 2014)
Actualité cinématographique, page 9.Editions de Cassandra, case postale 141.
CH-3960 - Sierre (Suisse).
Anonymous

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